Rédemption du Christ

Péché Rédemption du Christ définition

La Rédemption du Christ profite uniquement aux pécheurs qui ont la notion du bien et du mal. Mais qu’est-ce que la Rédemption du Christ ? Et qui est pécheur ? Les pères chrétiens n’expliquent rien sur la Rédemption du Christ, ou si peu.

Certes, la désobéissance à Dieu est blâmable. Mais c’est une règle morale comprise dans les préceptes de l’Église Catholique soumettant le fidèle plutôt qu’elle ne l’éclaire. Car l’essentiel dans la Rédemption du Christ est d’avoir conscience du bien et du mal.

Si on commet une action répréhensible sans réaliser la gravité de l’acte, c’est condamnable, certes, mais il n’y a nullement péché, puisqu’il y a absence de conscience. La Rédemption du Christ se mérite et s’accomplit lorsque la faute est reconnue et regrettée. C’est le repentir.

Il y a une diversité de cas où la Rédemption s’applique ou non. Si un individu commettant le mal, se repent, et prend la résolution de ne jamais recommencer, ni en pensées, ni en paroles, alors la rédemption intervient.

Bonnes et mauvaises actions

Mais il y a des gens qui font le mal en pensant faire le bien, ils demeurent alors dans l’erreur et hors du champ rédemptionnel, puisqu’ils sont déjà en dehors du circuit de conscience habituel, dit raisonnable. Les prêtres et les évêques pédophiles ne font pas exception à la règle.

Ces derniers sont tout bonnement en dehors du circuit de conscience au même étage que les criminels, les pervers et les sadiques. Mais, quel choc ! des hommes représentants du Christ !

N’est pécheur que celui ou celle qui a conscience de tous ses actes ! Ainsi, le devenir s’éclaire puisque réflexion et introspection se substituent aux actions, bonnes et mauvaises. A partir de là, il s’avère difficile de maintenir un cap, sans cesse sollicité entre un haut et un bas, la tentation dans l’âme, aspirant au bien et s’adonnant au mal, le combat est permanent.

Un dernier regard. Lorsqu’un individu est conscient du bien et du mal, une brèche s’est ouverte dans son esprit. Et le chemin de la Rédemption est reconnaissable et envisageable.

Mais l’individu n’est pas pour autant à l’abri des tentations. Au contraire, il peut commettre des actes mauvais envers autrui et lui-même aussi et se donner bonne conscience. Mais il peut également anticiper intuitivement ou relativement le mal causé ou les torts occasionnés et agir volontairement et lucidement.

L’enfer s’il existe

Dans ce cas, la Rédemption qu’apporte le Christ pourrait ne guère profiter à cette catégorie d’individus, pourtant lucides, et demeurer sous-jacente, en vue d’un rachat futur, et surtout selon la nature et la gravité des actes.

Car dans les cas extrêmes, nous ne savons pas ce que deviennent les criminels, les tortionnaires, les psychopathes, les violeurs, mais nous avons toutes les raisons de penser que l’enfer s’il existe n’est rien ! comparativement au devenir qui les attend…

Croyance ou non à la Rédemption du Christ

Qu’il y ait religion, croyance, conscience ou non d’une Rédemption, la sentence incessante sera ce qu’elle sera. De l’autre côté, rien n’attend. Tout se paie et perdure en bien et en mal et dans tous les Temps.

C’est pourquoi, il est souhaitable de faire le bon choix et de chercher à s’améliorer durant une courte existence terrestre, après il est trop tard.

 

Suppôts de Satan